If the general objective of the Symposium is "to consider the transformation of metropolitan spatialities in the light of a reflection on the new power relations and the re-compositions that they bring about in terms of public policies", then the case of Rome is revealed of a certain interest by summarizing in its recent dynamics the bursting of all public policies as a consequence of permanent conflicts between the administrative and governmental scales; conflicts that, even in a context of "rescheduling of public policies towards the local sphere", it is necessary to inscribe carefully in the crisis of any public action referring to the planning. The process of metropolitanization occurring in the territory of Rome is part of a well-known phenomenon of extension of the built-up area common to Mediterranean metropolises. The formal response also supported by European policies is based on urban regeneration. In particular, an idea of intervention on the existing grounds the last urbanism policy formulated in a direct way for the city (2013-2015). However, the real experiences developed in recent years show the contradictions of the proposed intervention model, the regulatory, financial and procedural critical nodes, and especially the absence of a real territorial dialogue that should be built by a new governance of the metropolitan territory. These issues will be examined using a research-action experiment developed over three years (2013-2015) in a peripheral district of the city of Rome and financed by a URBACT II (RE-Block project).

Prezioso, M., D’Orazio, A. (2018). The Urban Regeneration Stakes: Rome or the Unaccomplished Change. In R.J. Baron N. (a cura di), Cultura territorial e innovacíon social. ¿Hacia un nuevo modelo metropolitano en Europea del Sur? (pp. 205-216). Valencia : PUF - Publicacions de la Universitat de València.

The Urban Regeneration Stakes: Rome or the Unaccomplished Change

Prezioso M.
;
D’Orazio A.
2018-01-01

Abstract

If the general objective of the Symposium is "to consider the transformation of metropolitan spatialities in the light of a reflection on the new power relations and the re-compositions that they bring about in terms of public policies", then the case of Rome is revealed of a certain interest by summarizing in its recent dynamics the bursting of all public policies as a consequence of permanent conflicts between the administrative and governmental scales; conflicts that, even in a context of "rescheduling of public policies towards the local sphere", it is necessary to inscribe carefully in the crisis of any public action referring to the planning. The process of metropolitanization occurring in the territory of Rome is part of a well-known phenomenon of extension of the built-up area common to Mediterranean metropolises. The formal response also supported by European policies is based on urban regeneration. In particular, an idea of intervention on the existing grounds the last urbanism policy formulated in a direct way for the city (2013-2015). However, the real experiences developed in recent years show the contradictions of the proposed intervention model, the regulatory, financial and procedural critical nodes, and especially the absence of a real territorial dialogue that should be built by a new governance of the metropolitan territory. These issues will be examined using a research-action experiment developed over three years (2013-2015) in a peripheral district of the city of Rome and financed by a URBACT II (RE-Block project).
2018
Settore M-GGR/02 - GEOGRAFIA ECONOMICO-POLITICA
English
Rilevanza internazionale
Articolo scientifico in atti di convegno
Si l’objectif général du Colloque est «de considérer la transformation des spatialités métropolitaines à la lumière d'une réflexion sur les nouveaux rapports de pouvoir et les recompositions qu'elles entrainent en matière de politiques publiques», alors le cas de Rome se révèle d’un certain intérêt en résumant dans ses récentes dynamiques l’éclatement de toutes politiques publiques en conséquence de conflits permanentes entre les échelles administratives et gouvernementale; conflits que, même dans un contexte de «ré-échelonnement des politiques publiques vers la sphère locale», il faut inscrire soigneusement dans la crise de toute action publique référant au ‘planning’. Le processus de métropolitanisation occurrent dans le territoire de Rome participe de bien connue phénomène d’extension de l'aire bâtie commun aux métropoles méditerranéennes: seulement pour la Commune de Rome (Municipalitè de Rome) entre1993 et 2008 on a urbanisée une surface presque trois fois la surface de la ‘città storica’ (le périmètre dedans les anciennes Mura Aureliane) tandis que pour l’entière Province de Rome (actuellement ‘Città metropolitana’) pour l’an 2015 la surface artificiel correspond au 13,2 % du territoire - avec un incrément pour cent entre 2012 et 2015 , années de véritable crise du secteur bâtiment, de 0,8% - En face de ces données la réponse formel soutenue aussi par les politiques européennes repose sur la régénération urbaine. En particulier une idée d’intervention sur l’existante fonde la dernière politique d’urbanisme formulé d'une façon directe pour la ville (2013-2015). “La Roma che vogliamo è semplice: rigenerare tutto quello che è costruito, fare meglio dove è stato già fatto, dove la città ha consumato il suolo e rivedere tutti gli interventi che ripropongono l’espansione fisica della città. Affermeremo in tutti i nostri interventi che se la città non è pubblica semplicemente non è.” Assessorato alla Trasformazione Urbana - 2014 Toutefois les expériences réelles développées dans ces dernières années montrent les contradictions du modèle d’intervention proposé, les nœuds critiques réglementaire, financières et procédurales, et surtout l’absence d’un véritable dialogue territoriale qu’il faudrait bâtir par une nouvelle gouvernance du territoire métropolitain. On examinera ces problématique à l’aide d’une expérience de recherche –action développé pendant trois ans (2013-2015) dans un quartier périphérique de la ville de Rome et que faisait l’objet d’une Projet financé par le programme URBACT II: RE-Block qui, en défaisant l’acronyme en anglais, signifie REviving high-rise Blocks for cohesive and green neighborhoods. Les aires concernées étaient typiquement banlieues modernistes avec bâtiments d’haute densité d’habitation. Les problèmes territoriales abordés par le projet étaient pauvreté urbaine, bâtiments publiques dégradées, absence de services, absence de qualité environnementale et du cadre de vie. La méthode se voulait intégrée et l’objective était de produire un Plan d’Action Local de régénération urbaine à l’aide d’un group local de support par un processus participative qu’ il faudrait concertée avec l’autorité locale. Le déroulement de ce processus participative dans le cas du quartier Tor Sapienza se croise et se superpose avec certains initiatives de transformation menées par la Commune mais aussi avec dynamiques politiques qu’engagent la dimension locale, régionale et nationale. La problématique de la gouvernance métropolitaine de la ville de Rome Capitale, avec ses implications financières et fiscales s’avère déterminante en caler le moteur de toutes transformations.
Metropolitanization process; metropolitan governance; urban regeneration
La pubblicazione è connessa con il Colloquio internazionale CULTURE TERRITORIALE, INNOVATION SOCIALE REORIENTATION DES MODÈLES TERRITORIAUX A VALENCE ET EN EUROPE DU SUD svoltosi a Valencia (Spagna) dal 30 maggio al 1 giugno 2018. E' una delle attività previste nell'ambito del Programma quadriennale di ricerca italo-francese "Métropoles : crises et mutations" finanziato dall'Ecole Francaise de Rome. Le autrici del contributo sono parte attiva di questo programma. "Le colloque étudie les effets socio-spatiaux de la crise et en particulier l’émergence d’un "urbanisme de l'austérité" dans les pays du nord de la méditerranée. Il relève de l'axe "cités, territoires, citoyennetés" 2017 - 2019 de la Casa de Velazquez et s’intègre dans l’un des axes de recherche du programme "Métropoles : crises et mutations" soutenu par l’Ecole française de Rome. L'objectif central est de considérer la transformation des spatialités métropolitaines à la lumière d'une réflexion sur les nouveaux rapports de pouvoir et les recompositions qu'elles entrainent en matière de politiques publiques locales. L’équipe scientifique porteuse de cette initiative est composée de Nacima Baron, Université paris est, de Juan Romero, Juan Miguel Albertos, Julia Salom, Carme Melo et Joaquin Fariños de l’université de Valence.
http://puv.uv.es/cultura-territorial-e-innovacion-social.html
Prezioso, M., D’Orazio, A. (2018). The Urban Regeneration Stakes: Rome or the Unaccomplished Change. In R.J. Baron N. (a cura di), Cultura territorial e innovacíon social. ¿Hacia un nuevo modelo metropolitano en Europea del Sur? (pp. 205-216). Valencia : PUF - Publicacions de la Universitat de València.
Prezioso, M; D’Orazio, A
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